Nous passons notre vie entière à devoir décider. Sans
arrêt. Depuis les moindre fait jusqu’aux
éléments majeurs de notre existence, comme la personne avec laquelle nous
vivons, l’emploi que nous acceptons ou refusons, la conception d’un enfant,
l’achat d’une maison, l’emprunt dans une banque, un engagement politique ou
religieux… Et d’une foule d’autres choses plus ou moins importantes, mais
souvent un peu inquiétantes : se faire vacciner ou pas, partir dans ce pays où
la terre risque de trembler, accepter un devis, trouver un nouveau médecin,
bousculer les convenances…
Sans que nous
comprenions toujours pourquoi, le choix devient parfois inextricable. Comme si
la profusion et la liberté nous engloutissaient et nous faisaient perdre nos
repères. Au lieu d’hériter de notre identité, nous nous retrouvons sommés de la
choisir. Ce choix est constant, intense et douloureux… » Pendant longtemps, les
individus se sont conformés à un destin défini par leur naissance : classe
sociale, métier transmis de père en fils, rôle prédéterminé en fonction de leur
sexe, de leur place dans la famille, de leur religion… Chacun suivait les
injonctions de la société, pour en assurer la cohésion et l’équilibre, sans
qu’il ne soit jamais question d’un quelconque épanouissement individuel
librement décidé.
Mais les révolutions et la démocratie sont passées par
là. En décrétant la liberté et l’égalité, elles ont individualisé la société,
et donné à chacun la responsabilité de son développement personnel et de son
propre bonheur. Et la possibilité de choisir tout ce qui, jusqu’alors, lui
était imposé. À nous, désormais, de trouver le moyen de devenir des êtres
libres, épanouis, harmonieux, développés.
Dès lors que nous « décidons » de continuer à vivre
(premier choix d’entre tous…), nous n’avons, en réalité, pas d’autre
possibilité que de choisir. « Choisir de ne pas choisir, c’est encore faire un
choix » Comment faire, alors, pour ne pas se perdre dans la jungle de nos
libertés, et se décider en toute sérénité ? Choisir s’apprend, non seulement
dans l’enfance, mais aussi tout au long de la vie. Puisque celle-ci n’est rien
d’autre qu’une succession de choix à faire : études, métier, conjoint, lieu et
mode de vie ; avoir des enfants ou pas, et comment les éduquer… Autant d’étapes
qui signent notre avancée dans la vie adulte. Et qui, de fait, nous mettent
souvent dans des situations angoissantes, où nous avons l’impression de jouer
notre vie. Avant de trouver quoi choisir, peut-être faut-il savoir qui l’on
est et ce que l’on veut.
Comment faire le bon choix ?
Première étape :
« Se recentrer
est la seule façon de neutraliser tous ces parasites »,en autre faire le vide
en soi
Deuxième étape :
« Identifier son désir. » Lorsqu’une
décision correspond à notre intention profonde, sa simple évocation doit nous
remplir d’émotions positives et nous donner l’impression d’être tiré en avant.
Troisième étape :
« Écouter son intuition. » L’intuition est
une intelligence à part entière, elle est en lien avec notre monde intérieur,
donc avec notre désir singulier elle nous donne des informations, des idées,
qu’il faut savoir capter pour faire avancer la réflexion. Captez les signes
autour de vous pour valider votre choix intuitif. Votre intuition vous a
soufflé que c’était la bonne personne, mais vous hésitez. Vous entendez soudain
les paroles d’une chanson : Ne me quitte pas, vos yeux se posent sur une
affiche publicitaire : « C’est bon pour vous ! »
Continuez d’être à l’écoute pour capter les messages
qui valideront votre choix.
Ne dites jamais que je n'ai pas le choix je le fait pour vivre non non non chacun de nous a toujours un choix a faire et ce choix peut être bon ou mauvais, prend conscience de cela et garde toi de dire je n'ai pas eu le choix
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